Le désarroi spirituel de notre temps

Publié le par Contemplatio

Plus rien (ou presque) ne nous ramène à notre vrai nature (principe spirituel).

Il est considéré comme allant de soi que nous avons des besoins égoïstes. L'homme intelligent serait celui qui s'y entend à les réaliser.

Le principe (certes souvent perverti) de la religion, et d'une certaine philosophie,était d'aller contre ce postulat. Mais c'est un grand malheur que la vraie religion (ou plutôt la vraie spiritualité) soit si peu trouvable, et imprègne si peu la société.

Il nous faut donc pour notre temps une philosophie (ou une religion si on veut, peu importe les termes) véritablement spiritualiste, c'est-à-dire qui nous renvoie à notre vraie nature, à cette archaia phusis dont parlent Platon et Plotin.

Publié dans Epoque contemporaine

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